TNLA 2013

Facette est élevée au Lycée agricole de Dax par Laurent Lescoulié et Gilles Harel

Félicie

Félicie est la suppléante de Facette, elle est aussi élevée au Lycée agricole de Dax

Imanol et Clémence

Clémence Terminale S

Facette Imanol et Mickaël

Mickaël BTSA ACSE

Félicie et Mélanie

Mélanie Terminale STAV

Anthony

Anthony Terminale STAV

Marion

Marion BTSA ACSE deuxième année

Jean-Raymond

Jean-Raymond BTSA ACSE Deuxième année.

30/12/2013

Visite chez les producteurs le 11 décembre

 Lundi 30 Décembre 2013 -

Le 11 décembre 2013 l'équipe du TNLA est allée à la rencontre de producteurs présents régulièrement aux concours dont celui de Paris.

 M. Betbeder Nicolas, 30 ans, habite à Sainte Marie de Gosse.

Polyculture-élevage-pisciculture
Questions : Pourquoi avoir diversifié votre exploitation ? Pourquoi avoir choisi plusieurs productions ?



M. Saint Aubin Laurent, 31 ans, habite à Sainte Marie de Gosse
élevage de bovins allaitants race blonde d'Aquitaine spécialisé en génétique, sélection et concours.
Questions : Quels sont les critères, performances et qualités que vous cherchez sur vos bêtes ?




M. Planté Jean Pierre, 40 ans, habite à Port de Lanne
élevage de bovins allaitants de race blonde d'Aquitaine
Questions : Que représente le mot génétique dans votre élevage ? Explication de la vente directe.


Marion et Mickaël

28/12/2013

Facette à COPENHAGUE !!!

Samedi 28 Décembre 2013 -


Après avoir parcourue 1967 km Facette est arriver à Copenhague au Danemark !
















A bientôt pour les nouvelles aventures de Facette autour du monde !

26/12/2013

Noël 2013 : photos de classes et "Paquito Facette"

 Jeudi 26 décembre 2013 -
PHOTOS DE CLASSES
Terminale STAV


Seconde 2

Seconde 1

Première S

Première STAV

BTSA ACSE APV 2ème année


BTSA ACSE APV 1ème année

BTSA GEMEAU 1ère année

Terminale S


Soirée de Noël et PAQUITO FACETTE


Facette en RÉPUBLIQUE DOMINICAINE

Jeudi 26 Décembre 2013 - 
 Facette a décidé d'aller faire un petit coucou à Mélanie et Frédéric en République Dominicaine. Il fait quand même meilleur là bas pour passer noël, mais il y a encore beaucoup de boulot à Oeyreluy. Je vous laisse donc voyager tranquillement à travers nos photos !  Bisou à tous et rendez vous au prochain voyage de facette ! 



 Clémence

22/12/2013

Harlem Shake Imanol

Dimanche 22 décembre 2013 -
 L'après-midi du jeudi 19 décembre a été banalisé pour une mobilisation des élèves et étudiants autour de Facette pour Noël avec prises de photos de classes et Harlem shake avec Imanol.
La fin d'après midi a continué avec un tournoi de volley-ball. En attendant les photos et vidéos de la soirée de noël voici le Harlem Shake :



20/12/2013

Les traditions landaises


Vendredi 20 Décembre 2013 -
Cette année l'équipe du TNLA a choisi de représenter les valeurs landaises. Le département des Landes est fort en traditions.



Les Landes sont le département le plus boisé de France avec un taux de boisement de 67% soit 632 000 ha. Avec les plantations massives des pins, depuis le XIX ème siècle, le gemmage a été l'activité phare de ce territoire jusque dans les années 50. Cela consiste à blesser un pin pour en extraire la résine. Cette résine est distillée afin d'obtenir deux produits : la colophane pour la colle, les adhésifs, le papier... et l'essence de térébenthine qui sert aux peintures, vernis, etc... Cette activité disparait dans les années 80 pour laisser place à une vocation papetière.

Vous le savez les landais sont surnommés les crocs maïs. L'agriculture occupe ¼ du territoire. Le maïs est la culture principale (voilà pourquoi ce surnom). On recense 5 800 exploitations pour 211 000 ha de SAU. Plusieurs produits de qualité sont cultivés. L'asperge des sables des Landes, les canards fermiers des Landes, les volailles fermières des Landes, les vins du Tursan, les bovins viande vendus en label boeuf de chalosse, les kiwis de l'Adour ainsi que l'armagnac et le floc de Gascogne.





Avec ces différents produits, les Landais sont d'heureux épicuriens et les fêtes ne se déroulent jamais sans un bon repas pour partager ensemble les richesses du terroir.

Les plus célèbres étant les plats composés des multiples produits du canard puisque les Landes sont le berceau de l'élevage des canards gras.

On retrouve donc le foie gras, la salade landaise avec le maïs, l'asperge, le jambon de Bayonne, du magret séché et des gésiers ainsi que la salade bien sûr !
Pour ce qui concerne les pâtisseries, le pastis landais et la tourtière sont très appréciés.



Et puisque l'on parle des repas, parlons un peu de la palombe...

La chasse est une tradition très ancienne plus particulièrement la chasse à la palombe.

 
Elle se déroule généralement du 15 septembre au 15 novembre. L'excitation des paloumayres autour de ces dates prouve que cette tradition perdure de génération en génération. Il existe plusieurs techniques de chasse mais on retrouve la chasse au filet qui est la plus courante dans notre département. Il consiste à inciter les palombes à se poser sur les arbres puis au sol à l'aide d'appelants afin de les capturer vivantes aux filets.

Marion Sainléger



18/12/2013

Facette part s'amuser aux attractions du FUTUROSCOPE !

Mercredi 18 décembre 2013 -


Et oui Facette elle aussi aime s'amuser, elle est donc partie à Poitiers faire un petit tour au Futuroscope avant d'entrée dans quelques jours sur le Ring !!






Peut être que Facette vas finir par vous donner envie de voyages et d'aventures !

A bientôt pour de nouvelles aventures de Facette autour du monde !!

12/12/2013

FACETTE A MONTPELLIER

Jeudi 12 décembre 2013 -

Clémence


FACETTE A WALLIS & FUTUNA

Jeudi 12 Décembre 2013 -

Clémence

La traçabilité dans l'élevage

  Jeudi 12 décembre 2013 -

On entend souvent parler de traçabilité mais qu’en est il vraiment ?

La naissance et les premiers gestes de l’éleveur :


La petite Idoia est née le 11/11/2013 à 5h55 pour un poids de 48 Kg.  Au delà de la beauté du moment où la petite a respiré pour la première fois, l’éleveur a fort à faire. 
Après lui avoir fait les premiers soins à savoir désinfecter le nombril, l’aider à téter le colostrum, réaliser le bouclage d’identification, la sécher avec un peu de paille et vérifier que sa mère s’en occupe, il doit alors la laisser pour officialiser cet heureux événement. Dès cet instant, l’éleveur a 7 jours pour déclarer la naissance en se connectant sur internet et ainsi remplir le tableau suivant sur le site selso:


            Ce logiciel permet de suivre les animaux. Neuf mois plus tôt la mise à la reproduction de la mère avait été notifiée ainsi que le nom du père qui l’a sailli. Il ne reste plus à l’éleveur qu’à remplir les informations sur le veau (son numéro, nom, sexe…). D’autres informations secondaires sont aussi demandées pour avoir quelques précisions sur l’animal qui pourront servir dans sa vie future. Suite à cette déclaration de naissance, l’EDE transmettra à l’éleveur le passeport du bovin.


            Les outils de l’identification 

1)   La boucle :
Sur celle-ci on peut lire :
FR : le pays d’origine de l’animal (ici la France)

Plus bas  le commencement du numéro national à 10 chiffres.
Celui-ci débute par le numéro du département (ici 40 : les Landes). Les huit chiffres suivants sont définis par l’EDE et correspondent à l’identification de l’animal.

Au dessous encore un code barre peut être lu par un lecteur de code barre pour retrouver tous les éléments concernant l’animal.

Les 4 derniers gros chiffres, appelés aussi numéros de travail, sont généralement utilisés par l’éleveur pour repérer l’animal au milieu du troupeau.
Avec ce système chaque animal a son propre numéro. Il ne peut y avoir de numéros à 10 chiffres identiques en France.
Durant sa vie il arrive que l’animal perde ses boucles d’identification. L’éleveur doit alors en commander au plus vite pour les remplacer.


2)   Le passeport :
Comme l’homme, l’animal possède une carte d’identité (la carte rose) et un passeport (la carte verte) qui le suivent toute sa vie. La carte rose est la carte d’identité de l’animal et la carte verte est un carnet de santé qui certifie l’état sanitaire de l’endroit où habite l’animal. Mais que contiennent-elles ?
Recto :


Verso :





De l'élevage à l'abattage



            Tout au long de sa vie il se peut que l’animal soit malade ou du moins qu’il subisse des traitements préventifs ou curatifs si besoin est, comme par exemple les traitements anti parasitaires (anti mouches, poux, tiques …).  L’éleveur, après avoir soigné l’animal, doit  obligatoirement en garder une trace. Pour cela une copie de chaque ordonnance est à garder pendant au moins 5 ans. En plus de cela, une fiche par vache est à remplir et à garder tout le temps de vie de la vache. Elle se présente ainsi :



            Vers les 6 mois pour le veau (ou 3 à 9 ans pour le bœuf), l’animal gras est emmené à l’abattoir. L’éleveur fait alors appel à un transporteur agréé qui prendra en charge l’enlèvement de l’animal. C’est toujours avec un pincement au cœur que le « papa » (l’éleveur) de l’animal voit s’éloigner le camion qui emmène l’animal qu’il a élevé pendant tout ce temps. Par habitude il met ses émotions de coté pour revenir aux taches à accomplir. La première devant être de sortir l’animal du cheptel : pour cela il se connecte à internet et remplit le tableau suivant : 

            Après la mort de l’animal sa carcasse est pesée, mise en chambre froide, puis repesée pour avoir le poids à froid : un numéro lui est attribué. Celui-ci est associé au numéro de boucle de l’animal. Le numéro du ticket de pesée est associé à tous les morceaux de viande qui sont débités de la carcasse. Voila comment se présente le ticket de pesée : 


            Le numéro d’identification du bovin est le numéro à 10 chiffres de la boucle d’oreille de l’animal. Sur ce ticket sont aussi notés : la date de pesée, le poids froid, le numéro d’agrément de l’abattoir, le numéro d’abattage, ainsi que le numéro du bon / tuerie et l’usager sont les principaux critères utiles pour savoir d’où vient l’animal. Une copie de ce ticket est donnée à l’éleveur et une autre suit la carcasse qui, après maturation, est emmenée chez le boucher pour être débitée.
            Suivant les possibilités de l’éleveur, le mode de commercialisation peut être différent : vente à la coopérative, à un négociant privé, au boucher, en caissettes de viandes et/ou plats cuisinés pour la vente directe… Dans tous les cas, le système est le même : un numéro de lot est inscrit sur chaque boite ou emballage du produit. On peut ainsi remonter à la carcasse puis à l’animal. En effet, regardons le système utilisé :
Voici un bocal de plat cuisiné :

    

            On peut voir :
-      à droite, le numéro du fabriquant du produit,
-      en haut à droite la DLC qui a un lien avec la date de fabrication
-      au dessous le sigle HOA V qui veut dire Axoa de Veau.
             
Ainsi en cas de besoin, le client final peut, à partir de ses informations, retrouver le jour de fabrication, le produit concerné et le numéro de tuerie correspondant avec le ticket de pesée donc l’identité de l’animal concerné. On connaît ainsi l’origine de l’animal, son élevage et la manière dont il a été élevé.  

Voici un schéma synthétique sur toute la chaîne de la traçabilité :



C'est avec ce système perfectionné que le consommateur est garanti de la qualité et de l'origine des produits qu'il consomme.



Facette à Johannesburg - Afrique du Sud

Jeudi 12 décembre 2013 -

Nelson mandela est fêté en Afrique du sud , "madiba" n'est plus.
Facette aussi  lui rend hommage ici à Johannesburg devant sa statue.

10/12/2013

Facette en concert

Mardi 10 Décembre 2013 -

07/12/2013

L’exploitation du Lycée agricole de DAX

Mardi 7 décembre 2013 -
L’exploitation du Lycée agricole de DAX

Le Domaine de Laluque


L’exploitation du lycée de Dax a été créée en 1972.
Au départ, orientée en volailles et ovins, elle a progressivement évolué vers l’élevage allaitant qui est aujourd’hui sa principale activité. A l’arrivée d’un nouveau directeur d’exploitation en 2008, Laurent LESCOULIE,  des projets innovants ont été mis en place (pâturage tournant, sélection génétique, vente directe, construction d’une nouvelle stabulation…).

Le domaine de Laluque compte 2.5 UTH :

·        Le directeur d’exploitation «Laurent LESCOULIE »



·        L’ouvrier à plein temps « Gilles »




·        Une apprentie en école d’ingénieur agronome « Pauline »




Le cheptel se compose de 64 mères Blonde d’Aquitaine et de 36 génisses de renouvellement.
L’exploitation recherche l’autonomie alimentaire du troupeau avec la production de fourrages annuels (sorgho maïs ensilage, méteils, couverts végétaux) et de céréales et protéagineux (maïs, triticale, tournesol…). Mais l’essentiel de l’alimentation (9 mois sur 12) est basée sur un système de pâturage tournant sur les 34 ha de prairies situées autour de l’exploitation et du lycée.




Les vaches de réforme sont engraissées sous le label rouge « Bœuf de Chalosse ». Elles font objet d’essais techniques autour du thème de l’autonomie protéïque en comparant par exemple deux rations : maïs/soja (ration classique) et maïs/tourteau de tournesol (ration d’essai).
L’exploitation écoule sa production essentiellement en filières courtes :
·        Vente des animaux gras et des broutards à un négociant, destinés aux boucheries locales ;
·        Vente directe : environ 1 bovin gras et 1 broutard par mois (viande en colis, au détail, charcuteries, plats cuisinés).




Le site accueille tout au long de l’année scolaire 120 stagiaires du lycée et 500 heures de travaux pratiques afin de former les élèves et étudiants à leur futur métier.





Le Domaine de Laluque est présenté en détail sur le site internet du lycée agricole :